Jean Pormanove: Maltraitance en Direct? Révélations Choc Avant Sa Mort!

La mort de Raphaël Graven, connu sous le pseudonyme de Jean Pormanove, continue de susciter des interrogations. Le streameur de 46 ans est décédé dans des circonstances troublantes, laissant derrière lui une vague d'émotion et de suspicion. Alors que l'autopsie privilégie pour l'instant des causes médicales ou toxicologiques, un lanceur d'alerte a publié des centaines d'heures de vidéos qui jettent une lumière crue sur les derniers jours de sa vie.

Un Lanceur d'Alerte Révèle des Sévices

Pierre*, un jeune homme d'une vingtaine d'années, a archivé pendant près de deux ans des milliers d'heures de vidéos de Jean Pormanove diffusées sur la plateforme Kick. Choqué par ce qu'il a vu, il a décidé de rendre ces images publiques, convaincu qu'elles révèlent des maltraitances subies par le streameur. Selon Mediapart, qui a pu consulter près de 300 heures de direct ininterrompu, ces images montrent des tentatives d’étranglement, de très nombreux coups au visage et des brimades. Jean Pormanove se plaint à plusieurs reprises, demandant d’appeler la police ou l’hôpital, en vain.

Kick Pointé du Doigt

La plateforme Kick est au centre de la polémique. Pourquoi l'Arcom, le régulateur français de l'audiovisuel, n'a-t-elle pas réagi plus tôt face aux contenus diffusés sur cette plateforme? Des voix s'élèvent pour dénoncer le manque de contrôle et de modération, permettant la diffusion de scènes potentiellement choquantes et dangereuses. La question de la responsabilité des plateformes de streaming dans la protection de leurs utilisateurs est plus que jamais d'actualité.

Enquête en Cours

L'enquête sur la mort de Jean Pormanove se poursuit. Les analyses complémentaires devraient permettre de déterminer les causes exactes du décès. En attendant, les révélations du lanceur d'alerte et les témoignages recueillis par Mediapart soulignent la nécessité d'une vigilance accrue face aux dérives potentielles du streaming en direct et de l'importance de protéger les personnes vulnérables.

*Le prénom a été modifié pour protéger l'identité du lanceur d'alerte.

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